dimanche 29 juillet 2012

GUSTAV LEONHARDT


        Je déteste vraiment le pianoforte, comme instrument. C'est un monstre. On ne sent rien, on ne sent pas la corde, on jette quelque chose, ça retombe comme ça peut... Comparé au clavecin ! Fin, précis, sensible !
       GUSTAV LEONHARDT  dans le livre  de Jacques Drillon                p49 Gallimard

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire